Voici comment Verstappen fait face aux conditions météos
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La Formule 1 s'efforce de ne rien laisser au hasard. Pourtant, il y a un facteur que la F1 ne peut pas influencer : la météo. En 2023, il y a eu des extrêmes, des conditions (soudainement) humides à Zandvoort à la chaleur torride au Qatar. Max Verstappen a réussi à remporter ces deux courses extrêmes.
Verstappen a révélé lors d'un livestream sur TikTok la semaine dernière que le Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort était l'un de ses favoris absolus. Avec la pression de l'énorme public local sur ses épaules, le pilote de Red Bull Racing a gardé son sang-froid même si la piste était devenue trempée à deux moments de la course.
"C'était une course folle. C'était vraiment fou. Rester sur la piste avec les pneus slicks au début et la pluie à la fin, c'était une course vraiment cool", a déclaré Verstappen, qui a tout de même eu l'avantage de ne pas être gêné par les embruns de ses prédécesseurs en tant que leader. Néanmoins, le Néerlandais ne pouvait pas se reposer sur ses lauriers. "Lorsque vous êtes à l'avant, vous ne voulez pas prendre trop de risques, mais vous ne voulez pas non plus aller trop lentement. Vous devez essayer de trouver un peu de juste milieu là-dedans. Parce que c'est une piste de la vieille école, donc si tu fais une erreur, tu vas dans les graviers et ta course est terminée."
L'air conditionné dans la Red Bull ?
Au lieu de cela, au Qatar - où Verstappen a scellé son troisième titre mondial - il faisait extrêmement chaud, combiné à une forte humidité. Les pilotes sont sortis de leur voiture épuisés et déshydratés. "Idéalement, vous aimeriez qu'il fasse un peu plus froid. C'est inconfortable, ce n'est pas agréable. Vous pouvez définitivement voir que tout le monde avait du mal à sortir de la voiture", a réfléchi Verstappen sur cette journée.
Se mettre plus à l'aise, par exemple en allumant la climatisation, est impossible dans une voiture de Formule 1. "Non, pas vraiment, mais je pense qu'à partir de l'année prochaine, il y aura un système de refroidissement peut-être à un moment donné. Je suppose que cela aidera un peu. Je pense que le fait que nous devions faire ces arrêts obligatoires n'a pas aidé non plus. Cela signifiait que vous pouviez pousser beaucoup plus fort parce que vous aviez un nombre de tours limité. Donc je pense que dans l'ensemble, l'année prochaine sera meilleure", estime Verstappen.